Quelques mois après, quel bilan tirez-vous de cette expérience ?
CS : Il ne faut pas perdre de vue que l’erreur reste humaine.
Clairement, il est nécessaire de sécuriser en interne l’import
de données dans notre système.
En deux mots, quelle est le coeur de métier de ISAGRI ?
Christophe Sigogneau : ISAGRI est un groupe spécialisé en
informatique et en presse agricole. Principalement, nos clients
sont céréaliers, éleveurs ou viticulteurs. Notre mission consiste
à les informer et à leur proposer des solutions logicielles
d’exploitation ainsi que des services d’accompagnement
dans leur gestion.
Au tout début, qu’est-ce qui vous mène à FiveForty° ?
CS : Nous avions un vrai besoin de renfort sur le déploiement
D365 du pôle Média. En effet, il n’avançait pas à la même vitesse
que le pôle Éditeur de logiciels.
Cet été donc, un incident a perturbé fortement l’activité. Pouvez-vous resituer le contexte ?
CS : : Nous avions missionné FiveForty° avec un profil
administrateur pour le déploiement de trois nouvelles entités
juridiques sur les modèles des sociétés déjà en place.
Pour ce déploiement, nous leur avons donc accordé un accès
à l’environnement de production pour déployer le paramétrage
de ces entités.
Que s’est-il passé alors ?
CS : Lors de la mise à jour de ce paramétrage, une erreur sur
le fichier à importer impactait toutes les souches de numéros
de l’ensemble des sociétés déjà en production. Il était alors
impossible de créer tout nouvel enregistrement.
Comment a réagi FiveForty° ?
CS : Instantanément, Jonathan Lascaux, PDG et associé
de FiveForty°, m’a aussitôt informé de l’incident, de l’étendue
des dégâts et de la prise en charge immédiate de la résolution
de cet incident. Pour le suivi, le déploiement d’un support avec
une adresse email dédiée aux utilisateurs a été assuré.
Mon inquiétude résidait dans le fait de pouvoir corriger ce
problème et d’éviter d’être contraint de remonter une
production.
L’intervention a-t-elle résolu tous les problèmes ?
CS : L’incident s’est produit le 9 juin 2020. Dans les 48 heures,
90% des erreurs étaient corrigées. Début juillet, le delta était
résorbé car cela concernait principalement des traitements
de fin de mois.
Quels sont les points d’amélioration à envisager ?
CS : L’amélioration est surtout à porter du côté IT Isagri avec
la volonté de centraliser les imports en production. Le droit à
l’erreur existe mais il ne sert à rien de mettre des barrières à
chaque étape. Il convient d’être vigilant sur les comportements
à risque comme l’enchainement des tâches ou la nécessité de
retravailler un fichier exporté pour l’importer.
Si vous deviez recommander FiveForty°, que diriez-vous ?
CS : Allez-y, foncez !
Pour autant, sur quoi inviteriez-vous à être vigilant ?
CS : Le métier de FiveForty° est extrêmement lié aux personnes
recrutées et à l’état d’esprit de ses équipes. Il est donc
important que FiveForty° continue à recruter en conservant ses
valeurs clés que sont l’écoute, le partage et l’innovation.
Selon vous, en quoi FiveForty° différe d’autres intégrateurs ?
CS : J’en connais peu, mais la grande force de FiveForty° tient
dans son empathie avec les clients. J’apprécie également leur
réelle compétence métier et c’est primordial. Le tout combiné
avec leur capacité d’écoute et cette compréhension du besoin
qui n’est pas uniquement technique mais également faite
d’usage et de productivité.
Trois mots pour les résumer…
CS : Compétence métier, technique et professionnalisme.
Sur une échelle de 1 à 5, quelle note donnez-vous à votre relation avec FiveForty° ?
CS : Même avec l’incident, la note ne change pas, 5 !
Plus court, plus vite
En deux mots, quelle est le coeur de métier de ISAGRI ?
Christophe Sigogneau : ISAGRI est un groupe spécialisé en informatique et en presse agricole. Principalement, nos clients sont céréaliers, éleveurs ou viticulteurs. Notre mission consiste à les informer et à leur proposer des solutions logicielles d’exploitation ainsi que des services d’accompagnement dans leur gestion.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Au tout début, qu’est-ce qui vous mène à FiveForty° ?
CS : Nous avions un vrai besoin de renfort sur le déploiement D365 du pôle Média. En effet, il n’avançait pas à la même vitesse que le pôle Éditeur de logiciels.
Cet été donc, un incident a perturbé fortement l’activité. Pouvez-vous resituer le contexte ?
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
CS : Nous avions missionné FiveForty° avec un profil administrateur pour le déploiement de trois nouvelles entités juridiques sur les modèles des sociétés déjà en place. Pour ce déploiement, nous leur avons donc accordé un accès à l’environnement de production pour déployer le paramétrage de ces entités.
Que s’est-il passé alors ?
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
CS : Lors de la mise à jour de ce paramétrage, une erreur sur le fichier à importer impactait toutes les souches de numéros de l’ensemble des sociétés déjà en production. Il était alors impossible de créer tout nouvel enregistrement.
Comment a réagi FiveForty° ?
CS : Instantanément, Jonathan Lascaux, PDG et associé de FiveForty°, m’a aussitôt informé de l’incident, de l’étendue des dégâts et de la prise en charge immédiate de la résolution de cet incident. Pour le suivi, le déploiement d’un support avec une adresse email dédiée aux utilisateurs a été assuré. Mon inquiétude résidait dans le fait de pouvoir corriger ce problème et d’éviter d’être contraint de remonter une production.
L’intervention a-t-elle résolu tous les problèmes ?
CS : L’incident s’est produit le 9 juin 2020. Dans les 48 heures, 90% des erreurs étaient corrigées. Début juillet, le delta était résorbé car cela concernait principalement des traitements de fin de mois.
Quelques mois après, quel bilan tirez-vous de cette expérience ?
CS : Il ne faut pas perdre de vue que l’erreur reste humaine. Clairement, il est nécessaire de sécuriser en interne l’import de données dans notre système.
Quels sont les points d’amélioration à envisager ?
CS : L’amélioration est surtout à porter du côté IT Isagri avec la volonté de centraliser les imports en production. Le droit à l’erreur existe mais il ne sert à rien de mettre des barrières à chaque étape. Il convient d’être vigilant sur les comportements à risque comme l’enchainement des tâches ou la nécessité de retravailler un fichier exporté pour l’importer.
Si vous deviez recommander FiveForty°, que diriez-vous ?
CS : Allez-y, foncez !
Pour autant, sur quoi inviteriez-vous à être vigilant ?
CS : Le métier de FiveForty° est extrêmement lié aux personnes recrutées et à l’état d’esprit de ses équipes. Il est donc important que FiveForty° continue à recruter en conservant ses valeurs clés que sont l’écoute, le partage et l’innovation.
Selon vous, en quoi FiveForty° différe d’autres intégrateurs ?
CS : J’en connais peu, mais la grande force de FiveForty° tient dans son empathie avec les clients. J’apprécie également leur réelle compétence métier et c’est primordial. Le tout combiné avec leur capacité d’écoute et cette compréhension du besoin qui n’est pas uniquement technique mais également faite d’usage et de productivité.
Trois mots pour les résumer…
CS : Compétence métier, technique et professionnalisme.
Sur une échelle de 1 à 5, quelle note donnez-vous à votre relation avec FiveForty° ?
CS : Même avec l’incident, la note ne change pas, 5 !
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