Caroline Kott : Présent dans toutes les régions avec 1900
structures, Babilou est leader des crèches d’entreprises en
France. Nous intervenons aussi pour les collectivités, les écoles,
les centres aérés et disposons de notre école de puériculture.
Quand et à quelle occasion s’est créée l’entreprise ?
CK : Babilou voit le jour en 2003 suite au constat d’un manque
flagrant de solutions d’accueil pour les enfants de moins de trois ans. Alors même que la France est le pays d’Europe où le
taux d’emploi des femmes et la dynamique des naissances
sont parmi les plus élevés.
Quels besoins vous ont menés à FiveForty° ?
CK : Face à la charge de travail, nous avions un réel besoin
d’expertise et de ressources supplémentaires. On était face
à un manque aigu de fonctionnels. Nous émettions des
demandes qui peinaient à être satisfaites.
Comment êtes-vous arrivés jusqu’à eux ?
CK : Nous avons sollicité nos réseaux et de proche en proche
nous sommes arrivés jusqu’à FiveForty°. Tout en connaissant
leur approche et ayant déjà expérimenté les qualités de
certains de leurs consultants.
Au fond, qu’est-ce qui a motivé votre choix ?
CK : Bien sûr la compétence dans la mise en place de Dynamics
sur le stream Finance, mais pas que. L’aspect humain,
le relationnel et le caractère des consultants a été déterminant.
J’ai déjà travaillé avec des personnes compétentes avec qui
ça ne matchait pas du tout. Là, nous pouvons compter sur
la disponibilité de la ressource à tout instant.
Quel premier bilan pouvez-vous tirer de cette collaboration ?
CK : Pour moi c’est très satisfaisant. Je peux déléguer beaucoup quels que soient les interlocuteurs FiveForty°. Je n’ai pas à
réexpliquer. J’ai été frappée aussi par la montée en compétence
d’un consultant qui en deux jours dialoguait avec le métier
quand après plusieurs semaines rien ne se passait avec son
prédécesseur d’un autre intégrateur.
Qu’appréciez-vous le plus chez FiveForty° ?
CK : Une parfaite connaissance de Dynamics 365 et cette
double compétence, informatique et comptable. Ils donnent
des astuces sur les modes opératoires métier. Ils sont capables
de parler aussi bien à l’intégrateur, à l’IT et au métier.
C’est appréciable quand dans un dialogue technique, vous
n’avez ni pertes d’informations ni risques de distorsion.
Les ressources de FiveForty° permettent de pallier le manque
de bande passante des experts internes. Et puis le contact
avec les utilisateurs finaux est parfait.
Selon vous, quels sont les points d’amélioration que vous pourriez envisager ?
CK : Pour chercher la petite bête il faudrait comparer avec les
méga structures type IBM. Mais ça n’aurait aucun sens vis-à-vis
de l’agilité que la taille humaine de FiveForty° autorise.
Et puis tout fonctionne avec les tests books et les modes
opératoires proposés.
Si vous deviez recommander FiveForty° que diriez-vous ?
CK : Le niveau de connaissance des sujets et la disponibilité.
Je n’entends jamais "on réglera ça plus tard", par exemple.
La facilité de contact également. J’aime cette capacité de
switcher d’un sujet à l’autre tout de suite. Le transfert de
connaissance d’une ressource à l’autre, ce côté substituable
est un vrai confort.
Sur quoi inviteriez-vous à être vigilant?
CK : Pas facile. Peut-être rester vigilant même quand tout va
bien pour conserver un œil proactif, au cas où.
En quoi FiveForty° est-il différent ?
CK : Parce ce que plus impliquée que les autres. Nous ressentons
que nous ne sommes pas traités comme un numéro. Le respect
est tangible, sincère. On sent qu’ils cherchent à bâtir une
relation de confiance. Oui, avec eux il y a un respect ajouté
dans l’intérêt de la réussite de leur client.
Trois mots pour les résumer ?
CK : Expertise, collaboration, disponibilité.
Sur une échelle de 1 à 5 quelle note donneriez-vous à votre relation ?
CK : Personnellement, j’irais jusqu’à racine carrée de 25.
Plus court, plus vite
Caroline Kott : Présent dans toutes les régions avec 1900 structures, Babilou est leader des crèches d’entreprises en France. Nous intervenons aussi pour les collectivités, les écoles, les centres aérés et disposons de notre école de puériculture.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Quand et à quelle occasion s’est créée l’entreprise ?
CK : Babilou voit le jour en 2003 suite au constat d’un manque flagrant de solutions d’accueil pour les enfants de moins de trois ans. Alors même que la France est le pays d’Europe où le taux d’emploi des femmes et la dynamique des naissances sont parmi les plus élevés.
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
Quels besoins vous ont menés à FiveForty° ?
CK : Face à la charge de travail, nous avions un réel besoin d’expertise et de ressources supplémentaires. On était face à un manque aigu de fonctionnels. Nous émettions des demandes qui peinaient à être satisfaites.
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
Comment êtes-vous arrivés jusqu’à eux ?
CK : Nous avons sollicité nos réseaux et de proche en proche nous sommes arrivés jusqu’à FiveForty°. Tout en connaissant leur approche et ayant déjà expérimenté les qualités de certains de leurs consultants.
Au fond, qu’est-ce qui a motivé votre choix ?
CK : Bien sûr la compétence dans la mise en place de Dynamics sur le stream Finance, mais pas que. L’aspect humain, le relationnel et le caractère des consultants a été déterminant. J’ai déjà travaillé avec des personnes compétentes avec qui ça ne matchait pas du tout. Là, nous pouvons compter sur la disponibilité de la ressource à tout instant.
Quel premier bilan pouvez-vous tirer de cette collaboration ?
CK : Pour moi c’est très satisfaisant. Je peux déléguer beaucoup quels que soient les interlocuteurs FiveForty°. Je n’ai pas à réexpliquer. J’ai été frappée aussi par la montée en compétence d’un consultant qui en deux jours dialoguait avec le métier quand après plusieurs semaines rien ne se passait avec son prédécesseur d’un autre intégrateur.
Qu’appréciez-vous le plus chez FiveForty ?
CK : Une parfaite connaissance de Dynamics 365 et cette double compétence, informatique et comptable. Ils donnent des astuces sur les modes opératoires métier. Ils sont capables de parler aussi bien à l’intégrateur, à l’IT et au métier. C’est appréciable quand dans un dialogue technique, vous n’avez ni pertes d’informations ni risques de distorsion. Les ressources de FiveForty° permettent de pallier le manque de bande passante des experts internes. Et puis le contact avec les utilisateurs finaux est parfait.
Quels points d’amélioration voyez-vous ?
CK : Pour chercher la petite bête il faudrait comparer avec les méga structures type IBM. Mais ça n’aurait aucun sens vis-à-vis de l’agilité que la taille humaine de FiveForty° autorise. Et puis tout fonctionne avec les tests books et les modes opératoires proposés.
Si vous deviez recommander FiveForty que mettriez-vous en avant?
CK : Le niveau de connaissance des sujets et la disponibilité. Je n’entends jamais "on réglera ça plus tard", par exemple. La facilité de contact également. J’aime cette capacité de switcher d’un sujet à l’autre tout de suite. Le transfert de connaissance d’une ressource à l’autre, ce côté substituable est un vrai confort.
Sur quoi inviteriez-vous à être vigilant?
CK : Pas facile. Peut-être rester vigilant même quand tout va bien pour conserver un œil proactif, au cas où.
En quoi FiveForty est-il différent ?
CK : Parce ce que plus impliquée que les autres. Nous ressentons que nous ne sommes pas traités comme un numéro. Le respect est tangible, sincère. On sent qu’ils cherchent à bâtir une relation de confiance. Oui, avec eux il y a un respect ajouté dans l’intérêt de la réussite de leur client.
Trois mots pour les résumer ?
CK : Expertise, collaboration, disponibilité.
Sur une échelle de 1 à 5 quelle note donneriez-vous à votre relation ?
CK : Personnellement, j’irais jusqu’à racine carrée de 25.
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