Plus court, plus vite
On ne présente plus Excel, vous voyez bien le tableau. C’est son avenir qui nous intéresse ici, et il est en marche. Rapide.
Depuis trente ans dans l’informatique nous apprenons des concepts. Qu’il s’agisse du développement, avec le MVC ( Modèle-Vue-Contrôleur), les langages orientés objets ou de la gestion des bases de données avec l’UML (Langage de Modélisation Unifié). Aujourd’hui, Power BI, pour Business Intelligence, s’affirme comme l’outil d’analyse de données qui permet d’extraire des informations stratégiques aussi bien pour le top management que pour les collaborateurs sur le terrain. Effectivement on pourrait faire le rapprochement avec l’outil Microsoft Excel. Mais pas très longtemps. Posons-nous la question de la réelle nouveauté du concept de Power BI. Vingt ans auparavant, l’outil Microsoft SQL Server Analysis Services, (SSAS), voyait le jour. Il permettait déjà les analyses poussées des données que le plus souvent on affichait dans des écrans Excel. Cette technologie existe toujours. Dès lors, en utilisant un moteur très proche de SSAS et des langages similaires, qu’apporte Power BI de vraiment neuf ?
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
Pour le résumer en un clin d’œil : c’est pareil, mais en beaucoup mieux ! En effet, les possibilités sont largement étendues et il est possible dans le même outil de :
Et avant, on faisait comment ? Les grandes entreprises disposaient de la mise en place de solutions de bout en bout, par exemple via SSAS, SQL, SSRS et quelques autres. Quant aux petites, voire pour les individus, pas de salut en dehors d’Excel, il fallait tout faire dans ce tableur. Rechercher, Concatener, Somme.si, Remplacer, etc. A la condition bien entendu de connaître par cœur les formules idoines. Même si Excel reste cohérent pour le stockage de données ou le reporting à de petites équipes, une page se tourne.
Désormais, Power BI se charge de tout et rend l’agrégation, l’analyse, l’actualisation et la visualisation des données en provenance de sources multiples de façon infiniment plus simple et confortable. En résumé, on comprend que Microsoft Excel devient un outil satellite dont on aura de moins en moins besoin pour le reporting. Dès demain, il sera bien plus "Business Intelligence" de connaître les formules Power BI pour utiliser les données de façon plus professionnelle et adaptée à des équipes plus conséquentes et plus exigeantes.
Bref, avec Microsoft Power BI, le futur d’Excel est avancé !°
Par J.Lascaux, Fondateur de FiveForty°
Depuis trente ans dans l’informatique nous apprenons des concepts. Qu’il s’agisse
du développement, avec le MVC (Modèle-Vue-Contrôleur), les langages orientés objets
ou de la gestion des bases de données avec l’UML (Langage de Modélisation Unifié).
Aujourd’hui, Power BI, pour Business Intelligence, s’affirme comme l’outil d’analyse de
données qui permet d’extraire des informations stratégiques aussi bien pour le top
management que pour les collaborateurs sur le terrain. Effectivement on pourrait faire
le rapprochement avec l’outil Microsoft Excel. Mais pas très longtemps. Posons-nous
la question de la réelle nouveauté du concept de Power BI. Vingt ans auparavant, l’outil
Microsoft SQL Server Analysis Services, (SSAS), voyait le jour. Il permettait déjà les analyses
poussées des données que le plus souvent on affichait dans des écrans Excel.
Cette technologie existe toujours. Dès lors, en utilisant un moteur très proche de SSAS
et des langages similaires, qu’apporte Power BI de vraiment neuf ?
Pour le résumer en un clin d’œil : c’est pareil, mais en beaucoup mieux !
En effet, les possibilités sont largement étendues et il est possible
dans le même outil de :
Et avant, on faisait comment ? Les grandes entreprises disposaient de la mise en place de solutions de bout en bout, par exemple via SSAS, SQL, SSRS et quelques autres. Quant aux petites, voire pour les individus, pas de salut en dehors d’Excel, il fallait tout faire dans ce tableur. Rechercher, Concatener, Somme.si, Remplacer, etc. A la condition bien entendu de connaître par cœur les formules idoines. Même si Excel reste cohérent pour le stockage de données ou le reporting à de petites équipes, une page se tourne.
Désormais, Power BI se charge de tout et rend l’agrégation, l’analyse, l’actualisation et la visualisation des données en provenance de sources multiples de façon infiniment plus simple et confortable. En résumé, on comprend que Microsoft Excel devient un outil satellite dont on aura de moins en moins besoin pour le reporting. Dès demain, il sera bien plus " Business Intelligence" de connaître les formules Power BI pour utiliser les données de façon plus professionnelle et adaptée à des équipes plus conséquentes et plus exigeantes. Bref, avec Microsoft Power BI, le futur d’Excel est avancé !°
Par J.Lascaux, Fondateur de FiveForty°
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