Plus court, plus vite
Denis Fournier : Lagardère Travel Retail est l’une des deux branches du groupe Lagardère. Elle est aujourd’hui leader mondial du secteur. Elle intervient sur 4800 boutiques dans le monde. Présente dans 39 pays, elle rassemble 25 000 personnes et génère au global 5,5 Mds de recettes. En France, c’est 900 magasins, sans compter le duty free, avec une implantation dans les gares, les ports, les hopitaux et le métro sous bannière Relay.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Sans entrer dans le détail du SI, quelques points saillants ?
DF : Nous devons suivre de très près l’activité des points de vente, tous en zone de concession. Dans le cadre de contrats évolutifs dans le temps, nous rétribuons les concédants avec des règles complexes, telles que les effets de seuils ou les minimums garantis. Nous gérons aussi la rémunération des gérants qui sont nos salariés. Elle repose sur la base d’un fixe, d’un intéressement au C.A et à la démarque. De même, nous assurons la gestion des stocks et les approvisionnements. Nos boutiques regroupent une très grande variété de produits en six catégories : presse, livres, tabac et produits assimilés, cadeaux souvenirs, alimentation emballée et restauration. Cela nous amène entre autres à gérer des accords avec 5 000 fournisseurs qui intègrent des clauses de remises diverses dans des contrats de type grande distribution.
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
Quels besoins vous ont menés à FiveForty° ?
DF : Nous avions besoin d’être accompagnés sur les bons choix de développements stratégiques avec les meilleures optimisations de notre système d’information.
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
Quelles étaient vos attentes avant d’entamer cette collaboration ?
DF : Il nous fallait des partenaires capables d’opérer pour notre compte la meilleure veille technologique possible. Nous n’avions ni les personnes en interne, ni la volonté d’ailleurs de les recruter. Bref, nous avions besoin de consultants à la pointe, en mesure de participer à la conception, de produire et de développer les options idoines.
Comment Lagardère TR est venu à travailler avec FiveForty° ?
DF : Ce cabinet de conseil en solutions Microsoft était fondé par des personnes connues et reconnues. Nous avions fait la connaissance d’un jeune consultant quelques années auparavant et avions apprécié ses interventions sur notre ERP. Devenu associé chez FiveForty°, il était évident de continuer avec lui et ses équipes.
Au fond qu’est-ce qui a motivé vos choix ?
DF : Vous savez, "one shot" et "off shore" ne sont pas des usages qui ont cours chez Lagardère. Même si ce n’est pas simple à trouver, nous préférons des partenaires capables d’apporter de la compétence et de la valeur sur la durée. Cette relation sur le long terme créée de longue date, alliée aux compétences techniques des consultants que FiveForty° nous proposait, nous a conforté dans notre choix. Et puis leur taille nous garantissait la stabilité des intervenants.
L’intervention technique et la relation correspondent-elles à vos attentes ?
DF : Oui, car la façon dont fonctionne FiveForty° est cohérente avec ce que l’on recherche. Une structure à taille humaine avec une grande facilité de dialogue.
Quel bilan tirez-vous de cette première collaboration ?
DF : Sur la partie AX le bilan est positif. On a fait évoluer le legacy de la manière dont l’entreprise en avait besoin pour un coût très raisonnable. Pour autant, il va falloir monter en puissance sur le volet veille technologique et bien cerner ensemble comment on appréhende demain.
Qu’appréciez-vous chez FiveForty° ?
DF : La qualité de la relation humaine, leur taille et la capacité à faire un audit fin des tendances informatiques à venir.
Selon vous, quels sont les points d’amélioration à envisager ?
DF : Si la progression continue à ce rythme, il faudra peut-être envisager un renforcement de l’encadrement chez les clients. Et pourquoi pas ajouter aussi une ou deux cordes à l’arc FiveForty° ? Tout peut s’envisager.
Si vous deviez recommander FiveForty° à un collègue DSI que diriez-vous ?
DF : Leur atout numéro un est sans doute l’agilité grâce aux profils et à la personnalité des personnes qui composent FiveForty°. Ils ont aussi des consultants très seniors à même de jouer leur partition sur la durée.
Sur quoi inviteriez-vous FiveForty° à être vigilant ?
DF : Leur force tient dans leur équipe. Et, dans la progression qui est la leur, ils doivent veiller dans le recrutement à ne pas introduire un cheval de Troie dans leur équipe. Avec les gens qui se vendent bien en entretien, ce n’est pas toujours évident de détecter les personnalités qui matchent sur le long terme avec l’esprit maison.
Pour vous, ce qui fait leur différence avec les autres ?
DF : Encore une fois, les hommes et les femmes qui composent cette entreprise font cette différence. La culture de FiveForty° correspond à celle des fondateurs. Il faut garder cette originalité par rapport à des sociétés plus "affairistes" qui, au long cours, ne sont pas gages de sérénité.
Trois mots pour résumer FiveForty° ?
DF : Culture d’entreprise, relations humaines, agilité d’intervention.
Sur une échelle de 1 à 5, quelle note pour votre relation ?
DF : 4, pour maintenir les objectifs d’amélioration. Une des promesses de FiveForty° !
Denis Fournier : Lagardère Travel Retail est l’une des deux
branches du groupe Lagardère. Elle est aujourd’hui leader
mondial du secteur. Elle intervient sur 4800 boutiques dans
le monde. Présente dans 39 pays, elle rassemble 25 000
personnes et génère au global 5,5 Mds de recettes. En France,
c’est 900 magasins, sans compter le duty free, avec une
implantation dans les gares, les ports, les hopitaux et le
métro sous bannière Relay.
Sans entrer dans le détail du SI, quelques points saillants ?
DF : Nous devons suivre de très près l’activité des points de
vente, tous en zone de concession. Dans le cadre de contrats
évolutifs dans le temps, nous rétribuons les concédants avec
des règles complexes, telles que les effets de seuils ou les
minimums garantis. Nous gérons aussi la rémunération des
gérants qui sont nos salariés. Elle repose sur la base d’un fixe,
d’un intéressement au C.A et à la démarque. De même, nous
assurons la gestion des stocks et les approvisionnements.
Nos boutiques regroupent une très grande variété de produits
en six catégories : presse, livres, tabac et produits assimilés,
cadeaux souvenirs, alimentation emballée et restauration.
Cela nous amène entre autres à gérer des accords avec 5 000
fournisseurs qui intègrent des clauses de remises diverses dans
des contrats de type grande distribution.
Quels besoins vous ont menés à FiveForty° ?
DF : Nous avions besoin d’être accompagnés sur les bons choix
de développements stratégiques avec les meilleures
optimisations de notre système d’information.
Quelles étaient vos attentes avant d’entamer cette collaboration ?
DF : Il nous fallait des partenaires capables d’opérer pour notre
compte la meilleure veille technologique possible.
Nous n’avions ni les personnes en interne, ni la volonté d’ailleurs
de les recruter. Bref, nous avions besoin de consultants
à la pointe, en mesure de participer à la conception, de produire
et de développer les options idoines.
Comment Lagardère TR est venu à travailler avec FiveForty° ?
DF : Ce cabinet de conseil en solutions Microsoft était fondé par des personnes connues et reconnues. Nous avions fait la connaissance d’un jeune consultant quelques années auparavant et avions apprécié ses interventions sur notre ERP. Devenu associé chez FiveForty°, il était évident de continuer avec lui et ses équipes.
Au fond qu’est-ce qui a motivé vos choix ?
DF : Vous savez, "one shot" et"off shore" ne sont pas des usages
qui ont cours chez Lagardère. Même si ce n’est pas simple à
trouver, nous préférons des partenaires capables d’apporter de
la compétence et de la valeur sur la durée. Cette relation sur
le long terme créée de longue date, alliée aux compétences
techniques des consultants que FiveForty° nous proposait, nous
a conforté dans notre choix. Et puis leur taille nous garantissait
la stabilité des intervenants.
L’intervention technique et la relation correspondent-elles
à vos attentes ?
DF : Oui, car la façon dont fonctionne FiveForty° est cohérente
avec ce que l’on recherche. Une structure à taille humaine
avec une grande facilité de dialogue.
Quel bilan tirez-vous de cette première collaboration ?
DF : Sur la partie AX le bilan est positif. On a fait évoluer le
legacy de la manière dont l’entreprise en avait besoin pour
un coût très raisonnable. Pour autant, il va falloir monter en
puissance sur le volet veille technologique et bien cerner
ensemble comment on appréhende demain.
Qu’appréciez-vous chez FiveForty° ?
DF : La qualité de la relation humaine, leur taille et la capacité
à faire un audit fin des tendances informatiques à venir.
Selon vous, quels sont les points d’amélioration à envisager ?
DF : Si la progression continue à ce rythme, il faudra peut-être
envisager un renforcement de l’encadrement chez les clients.
Et pourquoi pas ajouter aussi une ou deux cordes à l’arc
FiveForty° ? Tout peut s’envisager.
Si vous deviez recommander FiveForty° à un collègue DSI
que diriez-vous ?
DF : Leur atout numéro un est sans doute l’agilité grâce
aux profils et à la personnalité des personnes qui composent
FiveForty°. Ils ont aussi des consultants très seniors à même
de jouer leur partition sur la durée.
Sur quoi inviteriez-vous FiveForty° à être vigilant ?
DF : Leur force tient dans leur équipe. Et, dans la progression
qui est la leur, ils doivent veiller dans le recrutement à ne pas
introduire un cheval de Troie dans leur équipe. Avec les gens
qui se vendent bien en entretien, ce n’est pas toujours évident
de détecter les personnalités qui matchent sur le long terme
avec l’esprit maison.
Pour vous, ce qui fait leur différence avec les autres ?
DF : Encore une fois, les hommes et les femmes qui composent
cette entreprise font cette différence. La culture de FiveForty°
correspond à celle des fondateurs. Il faut garder cette originalité par rapport à des sociétés plus "affairistes" qui, au long cours,
ne sont pas gages de sérénité.
Trois mots pour résumer FiveForty° ?
DF : Culture d’entreprise, relations humaines, agilité d’intervention.
Sur une échelle de 1 à 5, quelle note pour votre relation ?
DF : 4, pour maintenir les objectifs d’amélioration.
Une des promesses de FiveForty° !
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