Quand on aime on ne compte pas… Pas sûr.
Catherine, ce qu’elle aime ce sont les chiffres et elle compte beaucoup
chez FiveForty° où elle est associée et directrice générale. En plus de sa
fonction de consultant finance, elle est en charge des RH, du bien-être
au travail, de l’organisation des séminaires, des sujets de mécénat et du
financement des activités loisirs de l’interne. On comprend facilement
que dans le concept de vie active l’adjectif lui parle. Pour y prendre part
rapidement, elle est focus sur des études courtes. Après la terminale,
elle s’oriente vers un BTS de compta. "Comptable est le métier que j’ai
toujours imaginé. En première année, j’ai eu un gros retard à combler
sur ceux qui avaient déjà étudié la matière pendant deux ans",
se souvient-elle. Heureusement initiée aux arcanes des comptes en "T"
par une maman comptable, elle est vite à niveau.
Bonne étoile
Quand on aime on ne compte pas…
Pas sûr.
Catherine, ce qu’elle aime ce sont les chiffres et elle compte beaucoup chez FiveForty° où elle est associée et directrice générale. En plus de sa fonction de consultant finance, elle est en charge des RH, du bien-être au travail, de l’organisation des séminaires, des sujets de mécénat et du financement des activités loisirs de l’interne. On comprend facilement que dans le concept de vie active l’adjectif lui parle. Pour y prendre part rapidement, elle est focus sur des études courtes. Après la terminale, elle s’oriente vers un BTS de compta. "Comptable est le métier que j’ai toujours imaginé. En première année, j’ai eu un gros retard à combler sur ceux qui avaient déjà étudié la matière pendant deux ans", se souvient-elle. Heureusement initiée aux arcanes des comptes en "T" par une maman comptable, elle est vite à niveau.
"FiveForty° est en pleine expansion, c’est une ESN attractive aussi bien
pour un débutant qui a tout à y gagner que pour des spécialistes qui
pourront toujours monter en compétences sur des clients très diversifiés".
Avec enthousiasme, Michel nous dépeint son cadre de travail. On lui
demande alors d’évoquer sa scolarité. "Je suis un repris de justesse", confie
Michel avec un clin d’œil. A son élocution très rapide assortie d’un ton
enjoué, on imagine facilement un enfant turbulent, toujours prêt à faire
les quatre cents coups. Pas du tout. C’est un garçon sage qui se souvient
d’une enfance heureuse dansun cocon familial douillet.
Chez Pigier au Chatelet, les cours s’enchaînent et laissent peu de temps aux étudiants
pour déjeuner. Qu’à cela ne tienne. Catherine prend les commandes des sandwiches
et en fait des avions en papier qui atterrissent juste en dessous dans le bistro de ses futurs
beaux-parents. Au fil du temps, l’endroit devient le QG de Catherine et de ses amis où
s’organisent tournois de tarot et de poker le week end. Le fils de la maison revenant en
permission intègre le groupe. Le courant passe, le petit faible devient plus fort.
Au milieu des années 80, premier stage professionnel : le groupe Total accueille Catherine
qui découvre les prémisses de la comptabilité sur piano avec les cartes perforées.
"Pas simple avec un seul PC dans tout le service pour récupérer les taux de change
chaque matin", dit-elle. Catherine se pose ensuite pour cinq ans dans un cabinet d’expertise.
Elle intègre toutes les bases de son métier et absorbe des horaires impressionnants.
"En donnant beaucoup j’ai réalisé que je ne travaillais que par passion. J’ai compris que
m’investir à 200% était pour moi la seule façon d’avancer. Par la suite, c’est devenu mon
premier critère quand j’ai dû prendre des directions professionnelles déterminantes",
réalise-t-elle. Puis l’envie d’avoir des enfants se fait jour.
En parallèle, la relation avec son manager s’altère. Catherine s’interroge. Elle quitte le cabinet
d’expertise et se jette dans le grand bain de l’entreprise. L’Aquaboulevard de Paris lui permet
pendant dix ans d’évoluer à tous les postes de la compta du groupe. Très fière de sa famille,
Catherine considère qu’elle est le meilleur rempart pour surmonter l’adversité. Son époux
restaurateur l’a toujours épaulée et encouragée. Il est à ses yeux celui qui lui a permis d’être
là où elle est. Fidèle en amitié et dans ses engagements, Catherine est la maman comblée
de Claire et Nicolas. Côté travail, elle a intégré les éditions de La Martinière en tant que chef
comptable. Elle y passera douze ans. Connue pour dire haut et fort quand quelque chose ne
va pas, Catherine fait entendre qu’il est temps de passer à un ERP plus adapté aux réalités de
l’entreprise. La direction générale avalise. L’appel d’offre entre ERP Microsoft et SAP lancé.
L’AX est choisi, Catherine devient chef de projet sur l’ERP.
Un gros chantier en termes de conduite du changement sur lequel la plus grande vigilance
est requise. Elle se souvient : "Un vrai challenge pour moi, je quittai mon poste de chef
comptable pour quelque chose de tout nouveau. La DAF me convainc que ce projet allait me
donner les moyens de réaliser ce que je souhaitais. Comme j’aime les défis, j’ai accepté.
Et puis mon mari me soutenait…" Trois premiers mois difficiles sur un sujet inconnu.
Remise en question. Repartir de zéro… Trois mois de souffrance, mais pas question de
baisser les bras. Catherine s’accroche et se passionne pour le métier de consultant avec la chance
de l’exercer en interne. Au bout du compte, le projet est une belle réussite, toujours stable aujourd’hui.
C’est à ce moment que la DSI fait appel à des intervenants externes. Et le premier consultant
indépendant à venir a été Jérôme. "Maîtrisant à fond l’ERP et passionné par le métier, il a
apporté sur le projet une vraie valeur ajoutée", souligne Catherine. "En termes de réflexion
informatique, il a entre 5 et 10 ans d’avance sur nous. Aujourd’hui il nous coache chez
FiveForty°, Alex et moi on a parfois un peu de mal. Seul Jonathan réussit à le suivre", s’amuse
Catherine. Si le projet tourne à La Martinière, pour Catherine les choses ronronnent.
Elle souhaite monter en compétences mais on lui refuse les formations. Sa décision est prise.
DSI, DAF, RH tentent de la retenir. En vain. Elle part après douze ans. Un ancien collègue lui
parle alors de Flexmind fondé par Jérôme qui l’accueille à bras ouvert… sur un dossier
compliqué. Un baptême du feu des plus chauds sur lequel elle rencontre un certain Jonathan,
en stage à l’époque. Il n’a pas 24 ans. Travaillant côte-à-côte, ils se comprennent vite et se
serrent les coudes face à un client caractériel qui souvent dépasse les limites de l’acceptable.
Des liens plus que solides se nouent entre les deux futurs associés. "Pour se remonter le moral,
on se retrouvaient le soir à plusieurs, on sortait pas mal. Il fallait se changer les idées pour
tenir le choc. Et on tenait bon car même après des nuits blanches on était sur le pied de guerre
le matin chez le client, prêts à avancer. On jouait souvent good cops – bad cops en
alternance pour défendre l’équipe", précise Catherine. "J’ai découvert les qualités de
Jonathan, une empathie incroyable pour une personne de son âge, sa vivacité et une
intelligence situationnelle bluffante", indique Catherine. Avec cette expérience difficile,
Catherine et Jonathan deviennent inséparables.
Quand Jonathan décide de prendre son envol, c’est un coup dur pour Catherine.
"A ce moment, Flexmind ne me correspondait plus. Une nouvelle aventure s’annonçait.
Elle restait à écrire", souligne-t-elle. Convaincue par le projet FiveForty°, elle rejoint Jonathan.
Chacun prend très vite des missions. Le nouveau Cabinet de conseil en solutions Microsoft décolle.
Quand elle se retourne sur son parcours, Catherine remarque qu’il est fait de challenges et de défis.
Les derniers en date : le COVID. "On a traversé quelque chose de complétement inédit, mais notre
capacité à se parler, à partager, à décider, ajoutée aux preuves superbes d’attachement témoignées
par les salariés, me donne la certitude que l’équipe n’a pas fini de m’impressionner." °
Plus court, plus vite
Chez Pigier au Châtelet, les cours s’enchaînent et laissent peu de temps aux étudiants pour déjeuner. Qu’à cela ne tienne. Catherine prend les commandes des sandwiches et en fait des avions en papier qui atterrissent juste en dessous dans le bistro de ses futurs beaux-parents. Au fil du temps, l’endroit devient le QG de Catherine et de ses amis où s’organisent tournois de tarot et de poker le week end. Le fils de la maison revenant en permission intègre le groupe. Le courant passe, le petit faible devient plus fort.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Au milieu des années 80, premier stage professionnel : le groupe Total accueille Catherine qui découvre les prémisses de la comptabilité sur piano avec les cartes perforées. "Pas simple avec un seul PC dans tout le service pour récupérer les taux de change chaque matin", dit-elle. Catherine se pose ensuite pour cinq ans dans un cabinet d’expertise. Elle intègre toutes les bases de son métier et absorbe des horaires impressionnants. "En donnant beaucoup j’ai réalisé que je ne travaillais que par passion. J’ai compris que m’investir à 200% était pour moi la seule façon d’avancer. Par la suite, c’est devenu mon premier critère quand j’ai dû prendre des directions professionnelles déterminantes", réalise-t-elle. Puis l’envie d’avoir des enfants se fait jour.
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
En parallèle, la relation avec son manager s’altère. Catherine s’interroge. Elle quitte le cabinet d’expertise et se jette dans le grand bain de l’entreprise. L’Aquaboulevard de Paris lui permet pendant dix ans d’évoluer à tous les postes de la compta du groupe. Très fière de sa famille, Catherine considère qu’elle est le meilleur rempart pour surmonter l’adversité. Son époux restaurateur l’a toujours épaulée et encouragée. Il est à ses yeux celui qui lui a permis d’être là où elle est. Fidèle en amitié et dans ses engagements, Catherine est la maman comblée de Claire et Nicolas. Côté travail, elle a intégré les éditions de La Martinière en tant que chef comptable. Elle y passera douze ans. Connue pour dire haut et fort quand quelque chose ne va pas, Catherine fait entendre qu’il est temps de passer à un ERP plus adapté aux réalités de l’entreprise. La direction générale avalise. L’appel d’offre entre ERP Microsoft et SAP lancé. L’AX est choisi, Catherine devient chef de projet sur l’ERP.
Un gros chantier en termes de conduite du changement sur lequel la plus grande vigilance est requise. Elle se souvient :"Un vrai challenge pour moi, je quittai mon poste de chef comptable pour quelque chose de tout nouveau. La DAF me convainc que ce projet allait me donner les moyens de réaliser ce que je souhaitais. Comme j’aime les défis, j’ai accepté. Et puis mon mari me soutenait…" Trois premiers mois difficiles sur un sujet inconnu. Remise en question. Repartir de zéro… Trois mois de souffrance, mais pas question de baisser les bras. Catherine s’accroche et se passionne pour le métier de consultant avec la chance de l’exercer en interne. Au bout du compte, le projet est une belle réussite, toujours stable aujourd’hui.
C’est à ce moment que la DSI fait appel à des intervenants externes. Et le premier consultant indépendant à venir a été Jérôme. "Maîtrisant à fond l’ERP et passionné par le métier, il a apporté sur le projet une vraie valeur ajoutée", souligne Catherine. "En termes de réflexion informatique, il a entre 5 et 10 ans d’avance sur nous. Aujourd’hui il nous coache chez FiveForty°, Alex et moi on a parfois un peu de mal. Seul Jonathan réussit à le suivre", s’amuse Catherine. Si le projet tourne à La Martinière, pour Catherine les choses ronronnent. Elle souhaite monter en compétences mais on lui refuse les formations. Sa décision est prise. DSI, DAF, RH tentent de la retenir. En vain. Elle part après douze ans. Un ancien collègue lui parle alors de Flexmind fondé par Jérôme qui l’accueille à bras ouvert… sur un dossier compliqué. Un baptême du feu des plus chauds sur lequel elle rencontre un certain Jonathan, en stage à l’époque. Il n’a pas 24 ans. Travaillant côte-à-côte, ils se comprennent vite et se serrent les coudes face à un client caractériel qui souvent dépasse les limites de l’acceptable.
Des liens plus que solides se nouent entre les deux futurs associés. "Pour se remonter le moral, on se retrouvaient le soir à plusieurs, on sortait pas mal. Il fallait se changer les idées pour tenir le choc. Et on tenait bon car même après des nuits blanches on était sur le pied de guerre le matin chez le client, prêts à avancer. On jouait souvent good cops – bad cops en alternance pour défendre l’équipe", précise Catherine. "J’ai découvert les qualités de Jonathan, une empathie incroyable pour une personne de son âge, sa vivacité et une intelligence situationnelle bluffante", indique Catherine. Avec cette expérience difficile, Catherine et Jonathan deviennent inséparables.
Quand Jonathan décide de prendre son envol, c’est un coup dur pour Catherine. "A ce moment, Flexmind ne me correspondait plus. Une nouvelle aventure s’annonçait. Elle restait à écrire", souligne-t-elle. Convaincue par le projet FiveForty°, elle rejoint Jonathan. Chacun prend très vite des missions. Le nouveau Cabinet de conseil en solutions Microsoft décolle. Quand elle se retourne sur son parcours, Catherine remarque qu’il est fait de challenges et de défis. Les derniers en date : le COVID. "On a traversé quelque chose de complétement inédit, mais notre capacité à se parler, à partager, à décider, ajoutée aux preuves superbes d’attachement témoignées par les salariés, me donne la certitude que l’équipe n’a pas fini de m’impressionner." °
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
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